» Box de Peruzo EC [ A l'essai pendant 1 semaine ]

Messages : 616 Date d'inscription : 14/11/2007

Peruzo EC
Entier appartenant à AcidCitron

» Box de Peruzo EC [ A l'essai pendant 1 semaine ] Lklprvqs

Nom : Peruzo EC
Race : Trotteur Français
Age : 4 ans
Sexe : Entier

Sous la selle
Très chaud dans sa tête, il n'accepte que très peu qu'un
cavalier grimpe sur son dos. A la base, débourré pour les
courses de trot attelé, Peruzo n'a gardé aucun souvenir de
son débourrage. Cependant, une fois en confiance, il peut faire des
miracles, notamment en saut, où il possède beaucoup de
qualités.
Lors du grooming
Très peu à la recherche d'affection, il n'est jamais en confiance,
quel que soit le cavalier. Pour qu'il gagne votre coeur, à vous
de lui redonner tout l'amour dont il lui manque tant et de le
remettre en jambe que ce soit à la monte ou en main.

Obstacle : 13/100
Cross : 0/100
Dressage : 6/100
Course hippique : 0/100

Trec : 0/100
Randonnées : 0/100
Western : 0/100

Point faible : Dressage, Randonnée
Point fort : Obstacle

Endurance : 15/100
Moral : 24/100
Confiance : 22/100

Peut actuellement concourir en catégorie : Meeting cheval

Performances
o5/o1/o8 : 4eme au Meeting d'Obstacle

Prix achat : 16 000 €uros

Messages : 103 Date d'inscription : 29/12/2007

. P R E M I E R E . R E N C O N T R E .

À . L A . M A I S O N .

Je rêvais ... Je voyais juste un grand trou noir, et tout d'un coup, un étalon noir comme le charbon, la crinière en feu et les yeux rouges bondissait sur moi, m'arrachant les membres. Je hurlais de terreur et je me réveillais, éffondrée sur le plancher. Ma mère arriva en courrant, et ouvra la porte, m'observant d'un oeil étonner. Je me redressa et me massa les fesses : je mettais bien assommée >< Voyant l'air interrogateur de ma mère, je lui souriais :

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Comme j'étais affamée, je bondissa dans les escaliers, bousculant ma mère au passage. Celle-ci me donnait une claque sur la tête, et je manqua de louper une marche xD Bien sûr, mon imbécile de frère ne manqua pas de se moquer et je lui en mis une. Il se mit à pleurer et ma mère m'enguella. Faisant mine de n'avoir rien entendu, je m'installa à table et je commençais à manger mes oeufs brouillés : dans la famille, on était d'origine Allemande et on mangeait souvent du salé au petit déjeûner. Je dévora mes oeufs en mangeant un toast avec du beurre, puis je buvais un bon jus d'orange préssé et je me précipita dans ma chambre.

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Je me rua dans ma chambre et pris mon plus beau matériel : je venais d'avoir un cheval et mes parents m'avaient offert tout ce qu'il fallait pour monter, en très cher. J'avais été tellement heureuse ce jour-là : j'avais même choisit mon cheval ! Bref. Je me précipita dans la salle de bains, virant mon fère. Il glissa et tomba dans le couloir, et je ne manqua pas de rire sarcastiquement. Je claqua la porte et je la ferma à clef, puis je me déshabilla et je sauta dans la douche : bien vallait être propre pour rencontrer mon cheval. Après une bonne toilette, j'enfila mes sous-vêtements, puis mon superbe pantalon noir et mes chaussettes Bordeaux et Grises. Je mettais ensuite mon polo gris et j'enfilais par-dessus mon Sweat Bordeaux. Pour finir, je me coiffa rapidement et je me lava les dents, avant d'enfiler ma casquette grise GPA, et d'ouvrir la porte, dévallant les escaliers.

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Je n'eus même pas le temps de riposter : ma mère était déjà dehors et démarra, s'en allant. Mon frère se moqua de moi de novueau, et je lui balança un coussin du canapé en pleine poire. Je mis mes boots en cuir à lacets, mes chaps puis je chargea la voiture avec mon matériel. Je ferma le coffre et je monta, démarra et je m'éloigna lentement dans l'allée. Une fois le portail passer, je m'arrêta, regarda à gauche et à droite et je démarra. Je roulla tranquillement jusqu'au club, écoutant Fun Radio en chantonnant ...

. A R R I V E E .

Je savais que j'étais très en avance : il était 9 heures et Peruzo devait arrivé en début d'après-midi. Peruzo, c'était le nom de mon cheval. Je me dirigea à toute petite vitesse vers le parking du centre équestre, et je me garra tranquillement. Je déboucla ma ceinture et je descenda du véhicule. J'ouvra le coffre et je pris tout mon matériel. Je me dirigea vers la sellerie, et j'y trouva les casiers. J'étais venus plusieurs semaines au part avant pour voir les installations du centre et j'avais réserver un énorme casier. Je l'ouvris et j'installa tout dedans, fière de mes achats. Ensuite je le ferma et je me dirigea tranquillement vers le Club-House. Je gravissa quelques escaliers qui menaient au bureau, puis je toqua à la porte principale. Une voix repondit, alors je rentra et je ferma la porte derrière moi. La directrice se redressa avec un grand sourire et je m'avança vers son bureau. Comme elle me tendait la main, je la lui serra.

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Je me dirigea toute fière vers la porte, et je sortis rapidement, fermant la porte avec soin. Je dévalla les escaliers, manquant de renverser une jeune fille. Je m'escusa et on discuta tranquillement avant de se séparer. Je m'enlança à toute allure dans la cour et je me dirigea ensuite vers la Grande. C'était un grand bâtiment en fer forgé et en bois, peins en rouge et blanc. Je m'arma d'une brouette, un ballot de paille, une fourche et un balais. Je m'avança difficilement vers le box de mon étalon : je fis 3 voyage car il avait un grand box et il falait donc deux ballots. Je déposa tout devant le box de mon futur cheval et j'admira la plaque : elle était splendide, avec des fleurs gravés dessus, des coupes, ect ... Je souria et j'ouvra la porte du box. Il était encore parsemer de paille, ci et là, mais casiment vide. Je pris alors le balias et je commença à ballayer jusqu'à ce que tout soit niquel. Ensuite je fis sauter les ficelles des ballots et je pailla soigneusement le box, faisant un beau nid douilet à mon étalon. Quand je releva la tête pour regarder ma montre, il était déjà midi !

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Je passa un rapide coup d'éponge dans la mangeoire et je nettoya l'abreuvoir, puis je ferma la porte du box et je rangea tout très rapidement. Je courra jusqu'au Parking et je bondissa dans ma voiture, démarra et je roulla jusqu'au Snack qui était à peine à 1 kilomètre du centre, juste en bas de la route. Comme ça, je pourrais voir arriver le camion qui devait transporter mon étalon. Je me garra dans le minuscule Parking du restaurant encore vide, et j'alla au bar commander à manger. Je demanda un Sandwich Jambon-Beurre, un Sprite et un café. Puis je m'installa à une table et je mangea tout en regardant la route. Je finissais de boire mon café quand un camion gris et noir apparaissait. Je me leva, rangea mon plateau et je bondissa sur ma voiture, démarrant et précédant de peu le camion. J'accélèra le plus possible dans la route qui menait au centre, mais avec mon Audi je ne risquais pas de faire du tout-terrain ... Je me garra rapidement dans le Parking, et je sauta hors de la voiture, ne prenant même pas le temps de la vérouiller, et courrant à fond jusqu'à la cour. Le camion était garé et l'éleveur demandait à Pop's ou je me trouvais. Il tourna la tête en me voyant arriver me souriait. C'était un très beau jeune homme brun avec des yeux bleus, des dents parfaites et un superbe sourire ...

. I L . E S T . L À .

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Me voyant rougir jusqu'aux oreilles, le jeune homme souriait de plsu belle et se dirigea vers l'arrière du camion. Pop's me fit un clin d'oeil en poussant du coude et je lui afficha un regard sévère. Je suivis tranquillement le garçon, restant à distance du sourire du Don Juan. Je lui souria quand il se tourna vers moi, et il monta dans le camion. J'entendais déjà l'étalon tapper dans les paroies et hennir puissament. Quand je le vis enfin : le soleil étincellait sur sa robe alezane, ses muscles ronds roullaient sous son poil fin, sa tête fièrement dréssée, ses naseaux dilatés et ses oreilles pointées vers l'extérieur ... Il était magnifique. Il descendit avec vitesse la rampe, et n'hésita pas à trainer le jeune homme. Celui-ci le retint facilement, et me ramena le jeune étalon.

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Comme je me sentais toute troublée, je lui sera la main et je mena tranquillement Peruzo à son box. Il tirait comme un fou, cherchant à brouter tout et n'importe quoi ... Je le stopa rapidement, et l'étalon alezan m'observa d'un oeil malicieux. Dès qu'il tira, je lui mis une claque sur les naseaux, et l'étalon se cabra à demi. Je le laissa retomber tranquillement et je le mena à son box. Je l'ouvra, et dès qu'il fut dedans, il chercha à sortir, frappant vivement la porte de ses antérieur et hennissant stridement. Je partis chercher mon licol, et je revenais, le passant à l'étalon d'or. Je le mis dans un paddock et il commença tout de suite à se défouller : grand galop, ruades et sauts de moutons ... Après plusieurs minutes à le regarder se déchaîner, je souris et je partis chercher mon matériel de pansage. J'installa tout devant le box de l'étalon, et je partis ensuite le chercher.

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Au bout de quelques minutes, l'étalon doré se décida à approcher. Je le caressa longuement et je lui passa son licol. Puis je le sortit du pré et cette fois, il ne chercha pas à tirer. Je le caressa alors en arrivant au box et je l'attacha. Je prenais mon étrille et je commença alors à brosser le magnifique étalon. Peruzo était tout brillant déjà, mais je le brossa quand même. J'enchaîna ensuite avec le bouchon, déméllant un peu sa queue : elle dépassait d'une main en dessous du jarret, la taille parfaite. Pour finir son poil, je lui passa un coup de brosse douce, nettoyant ses membres robuste et sa tête fine. J'acheva mon pansage en curant les pieds de l'étalon. Etonnemment, celui-ci n'avait pas encore bouger ... Mais quand je lui pris le pied, il se mit à tourner en rond et fit semblant de me mordre. Je lui colla une baffe sur les naseaux, et il s'ébroua, se prostrant contre le mur. Je soupira et je lui prit l'antérieur, commençant à le curer. Je finis mon curage de pieds tranquillement, sans qu'il commence à me chercher des poux ...

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Je souria puis je lui démélla soigneusement sa queue et sa crinière. Comme il était 1 heure de l'après-midi, je décida de le laisser un peu au pré vu qu'il faisait grand soleil. Je lui mis quand même une chemise Bordeaux et Grise, et des Cloches noires. Je le détacha et je le mena tranquillement au paddock, Peruzo regardant autour de lui joyeusement, hennissant les juments qui passaient et faisant le beau. Je souriais fièrement : j'étais heureuse d'avoir un aussi bel étalon ... Quand je le lâcha au Paddock, il démarra fougeusement, pétant des coups de culs violents et galopant comme un malade dans son pré. Je souriais et posa le licol sur la cloture, et je partis voir un cour et autre, laissant mon étalon en paix pour quelques heures ...

Messages : 103 Date d'inscription : 29/12/2007

. P R E M I E R E . S E A N C E .

. A U . B O X .

Je partis directement à la sellerie. Je pris avec grand soin tout mon matériel, et je déposa tout soigneusement devant le box : malette de pansage par terre, filet sur le porte filet, selle, tapis, amortisseur sur le porte-selle et mon sceau à côté de ma malle. Je pris au final mon licol et je me dirigea vers le Paddock, ou j'avais laisser mon étalon Peruzo. Je m'empressa en voyant l'étalon s'avancer vers moi, et je le caressa longuement avant de lui passer son licol. J'ouvris la barrière du pré et je le fis sortir, le rentrant à son box. Pendant tout le chemin, l'alezan tira comme un malade sur la longe, me limant les doigts >< Une fois arriver au box, il se précipita sur ma boîte, balançant ses antérieurs dedans. C'en fut trop : je lui balançait une claque sur la croupe, et l'étalon ruait violemment. Je lui frappa les naseaux cette fois, et il sembla réagir plus promptement.

*

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J'attachais très court l'étalon alezan, qui ronfflait des naseaux et grattait le sol de son antérieur, visiblement impatient. Je lui ôta sa couverture Bordeaux et Gris, et je pris ma brosse douce, commençant à brosser soigneusement le corps massif et puissant du bel étalon. Ensuite je lui cura rapidement les pieds car ils étaient casiment propres. Pour finir, je lui démélla la queue et je le caressa longuement. Je sortis ma première bande Bordeaux, et je lui posa sur l'antérieur droit. Je commença à lui enrouler autour de l'antérieur avec beaucoup de soin, puis je pris une autre bande Bordeaux que je posa sur le postérieur gauche. Je l'enroula tout aussi soigneusement, et je sortis une nouvelle bande, mais cette fois grise. Je l'enroula cette fois ci sur l'antérieur gauche et une autre sur le postérieur droit. Une fois tout finit, je prenais mon superbe tapis Gris liséré Bordeaux, je le posa sur le dos de mon étalon et je posa ensuite mon amortisseur Bordeaux. Je lui posa pour finir ma selle Noire, et je sangla, mettant les sanglons, ect ... Puis je lui mis ma sangle bavette que j'avais eut à Noël dernier, et je lui ôta son licol. Je lui mis mon superbe filet noire et mon bonnet Gris liséré Bordeaux.

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Tout en souriant, je lui mis les rênes allemandes noires, et je mis mes gants, ma bombe et j'ajustais mon sweat Bordeaux. Je détacha l'étalon et je pris ma cravache au dernier moment, menant avec soin l'étalon à la carrière. Celui-ci ne pût s'empêcher de me tracter jusqu'au premier brin d'herbe ... Je le recala et je le força à me suivre au doigt et à l'oeil.

. D A N S . L A . C A R R I E R E .

Je marchais longuement l'étalon au pas dans la carrière, pour qu'il s'habitue à l'extérieur. Je l'arrêta ensuite au milieu, et je descenda mes étriers, ressangla et je raccourcissa bien mes rênes pour me mettre en selle. Au moment ou je me hissa sur la selle, l'étalon démarra promptement au galop, sans ruer, pensant que j'allais tomber ... Un coup de chance : je m'accrocha à la crinière, enfin le peu qu'il avait, et je m'asseya et chaussa mes étriers. Destabiliser, l'étalon s'arrêta net quand je tira sur les rênes, et cette fois, je faillis voler >< Je repris soigneusement mes rênes, ajusta mes rênes allemandes et mes rênes de filet, et je pressa les flancs de l'étalon, le faisant marcher activant. À chaques demande, il balançait un coup de cul, plus ou moins violent selon ce que je demandais. Je continuais mes exercices, marchant bien l'étalon et travaillant les allongements et l'incurvation. Décider à me faire manger la poussière, l'étalon ruait de plus en plus fort et à chaque actions de jambes. Je tins bon, et je continua mes exercices, bien accrochée et gardant de l'impulsion. Après quelques minutes, l'étalon se décida à se calmer, et se cala bien sur son mors, s'arrondissant légèrement et travaillant à peu près correctement. Alors, je le caressa longuement et je souria.

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Tout en me redressant, je repris mes rênes et je demanda le trot à Peruzo. Bien sûr, il s'élança en vifs ruades, mais je tira sèchement sur les rênes, et il se décida à repasser au trot. Décidant de rester posée, je me mis au trot assis, évoluant bien avec mon cheval. Comme toute mon enfance j'avais monter tous les jours, j'avais une réelle assiette et je faisais centaure avec mon cheval en dressage ... Je garda de l'impulsion et je me contenta de trotter sur la piste : je ne voullais pas mourrir maintenant =D Je gardais mes rênes tendues, l'étalon se plaçant très bien. Dans la diagonale que je pris, je demanda l'allongement à l'étalon alezan. Aux ordres cette fois, il allongea parfaitement bien son allure, tendant bien ses membres et gardant une foullée ample et souple. Je caressa longuement l'étalon et je pris le trot de travail sur la piste. Dans la longueur suivante, je garda des jambes en jouant légèrement avec mes doigts. Mon résultat : j'obtenis un magnifique cheval rond et portant son poids sur ses postérieurs sur quelques mètres ... Avant de faire un joli rodéo. J'étais tellement dans mon exercice que je ne fut même pas déstabiliser, aussi bien mentallement que physiquement. Je repris de nouveau l'étalon en main, et je le travailla sur les cercles, l'incurvant du mieux possible. Bien sûr, il recommença ses coups de culs à chaques aides précises, ce qui m'empêcha de travailler ... Je garda espoir : je continua inlassablement mon exercice, forçant l'étalon doré à se mettre aux ordres. J'étais surprise de moi même : je ne pensais pas tenir aussi longtemps sur ce cheval, qui ne pensais qu'à ruer pour mieux jeter son cavalier ... Quand Peruzo fut aux ordres, il travailla avec beaucoup de soin et de souplesse, évoluant souplement et gracieuse, dans une allure ample et élégante. Je le caressa alors et je lui demanda de repasser gentilment au trot. Je suivis parfaitement bien la transition descendante, et je caressais l'étalon de nouveau, ressanglant d'un trou.

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Cette fois, je me doutais que je finirais le nez dans le sable ... Mais je n'étais pas comme ces personnes qui mettent un couvre-reins pour ne pas que le cheval rue, qui choississent des chevaux facilent pour gagner ... Je préfèrais de loin avoir un cheval avec du tempérament et gagner avec de la prestance plutôt que de ne rien faire sur mon cheval et me laisser promener. Enfin, chaqun choisit de vivre comme il veut ... Après quelques minutes au pas, je repris mes rênes et je demandis gentilment le galop à droite à l'étalon doré. Comme je m'en doutais, l'étalon démarra plein cul, et commença un infernal rodéo ... Je m'accrocha solidement, serrant mes jambes et restant le plus droit possible, accompagnant les ruades de l'étalon. Pendant 5 minutes, je tins bon et j'eus bien raison de ne pas me décourager : l'étalon redoubla de violence et de puissance >< Me maudissant intérieurement, je tallona vivement l'étalon, car il commença à devenir dangeureux : il se cabra et manqua de se retourner ... De peur qu'il se retourne, je lui cravacha vigoureusement la croupe une fois, pour qu'il se décide à avancer. L'étalon démarra avec violence et fougue, galopant ventre à terre dans la carrière. Je me mis légèrement en équilibre pour ne pas me taper le derrière dans la selle et être en mauvais équilibre. Pas trop non plus, car si l'étalon s'arrêtait, je finirais dans le sable ... Laissant passer le coup de folie de l'étalon, je garda des jambes et je continua à le galoper pendant au moins 5 minutes, jusqu'à ce qu'il perde de la vitesse et prenne le petit galop. Je m'assis tranquillement dans ma selle, et je le galopa sagement sur un cercle, avant de changer de main. Il changea de pied tout seul et je le caressa, le faisant galoper sur la piste avec un peu plus de vigueur cette fois. Peruzo sembla calmer et `matter` mais je me méfia quand même, et j'eus bien raison ... Vous comprendrez plus bas pourquoi. Je le repassa après quelques minutes au trot, et je le trotta tranquillement pendant quelques minutes, travaillant les allongement sur les diagonales. Après plusieurs minutes, je fus décidée : Peruzo ne bougera plus. ALors je baissa ma garde une demi seconde ... Il démarra comme un bourrin, ruant sauvagement et faisant de puissants sauts de moutons. J'arriva à lui mettre la tête dans le coin de la barrière, et je me rassis correctement sur la selle : j'étais pratiquement sur l'encolure. Je remis l'étalon sur la piste et je le mis très en place, le coinçant presque. Je lui demanda le galop : à chaque ruade, je lui mis un coup de cravache sur la croupe, jusqu'à ce qu'il cesse. Après de nouveau 5 minutes de rodéo, l'étalon cessa et je le caressa, le repassant au trot et au pas.

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Je le laissa alors marcher rênes longues et je dessangla de deux trous. J'observa les alentours, restant dans mes pensées ... Je pensa au concours qui aura lieu bientôt : est-ce que je serais prête ? Et surtout, arriverais-je à garder un étalon obéïssant et pas un mustang sauvage ? Toutes ses questions me tourmentaient tellement que quand je me rendis compte l'heure qu'il était, il faisait déjà nuit. Je mis pied à terre immédiatement et je rentra l'étalon alezan à l'écurie.

. R E T O U R . A U . B O X .

Je le desella soigneusement, ôta les bandes et les roulla. Puis je lui passais un coup de brosse douce, enleva le sable de ses membres et je lui mis sa couverture de nuit : il risquait de faire froid cette nuit ... Je l'attacha soigneusement puis je lui cura les sabots, vérifiant qu'il n'y avait pas de cailloux coincer contre la fourchette ou dans la sole. Puis je le rentra dans son box et je le ferma, avant d'aller ranger mon matériel dans la sellerie. Quand je revins, je nourris mon Peruzo d'amour, et je lui embrassa avec passion le chanfrein ♥

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Je lui souria et je quitta le box, le fermant soigneusement. Je ferma le volet aussi pour qu'il ait moins froid et je partis saluer Pop's avant de me diriger vers le Parking. Je ne croisa personne : ils étaient tous rentrer chez eux ou en train de fêter le nouvel an ... Me sentant légèrement délaissée, je rentra dans ma voiture tristement et je démarra, quittant le club rapidement pour rentrer chez moi.

. A . L A . M A I S O N .

Il n'y avait personne chez moi quand je rentra : mon père avait accompagner Nicolas, mon frère, à un match de foot. Ma mère était sûrement encore à l'hôpital. Je me garra à la place de ma voiture et je rentra dans la maison. Je nourris mon chat, puis je commença à me faire cuire une énorme pizza. Pendant ce temps, je m'installa devant la télé en sirotant un Sprite, regardant Les Simpsons sur W9. Puis je mangea seule, changeant souvent de chaîne pour tomber la 6 ou il y avait NCIS. Je regarda passioner tous les épisodes : mes parents rentrèrent vers 11 heures et je n'étais pas encore couchée. Mon frère alla directement au lit et moi je le suivis rapidement : je ne voullais pas parler de ma journée ...

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Je fis mine de bailler et je mont alassement les escaliers. Je rentra dans la salle de bains et je me lava soigneusement les dents. Je dus attendre que mon frère finisse de se doucher : j'étais encore plus sale que lui ... Je finis donc de regarder NCIS j'alla enfin me doucher. Je me mis ensuite en pyjama et je me coucha, m'endormant tout de suite, tellement j'étais fatiguée ...

Messages : 616 Date d'inscription : 14/11/2007

Waaah xDD * baave *
C'est vraiment du travail de pro, avec les trucs perso et tout, trooop bien =D
Félicitation, j'aime beaucoup !

Premier résumé
+5 de confiance
+5 de moral

Second résumé
+5 de confiance
+5 de moral
+6 de dressage
+6 d'endurance

Il va falloir du courage pour dompter ce p'tit gars ^^"

Messages : 103 Date d'inscription : 29/12/2007

. S E A N C E . E N . L I B E R T E .

. A . L A . M A I S O N .

J'arriva à m'extirper de mon sommeil quand le réveil sonna : il était 8 heures et je mettais coucher à 11 h 30 ... Je le balança dans le mur : son hennissement de féraille m'énerva au plus au point. Je me leva en titubant, rassembla mes esprits et je descendis déjeûner. Je mangea beaucoup ce matin-là : il me fallait des forces pour dompter mon étalon ... Mon père était partit travailler, et ma mère posait sur moi un regard inquiet. Je releva la tête des mes oeufs à la coque et je fronça les sourcils.

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Ma mère ne termina pas sa phrase : je ne pris pas la peine de lui répondre, recommençant à manger tranquillement. Après mes oeufs, je mangea des toast avec de la confiture de framboise et de cerise, puis je mangea encore et encore xD Le dernier truc que je mangea était un bon verre de jus d'orange fraîchement préssé. Après je monta sous le regard soutenu de ma mère, et je rentra dans la salle de bains. Je me lava soigneusement, puis je me sécha et je m'habilla. Je mis mes sous-vêtements, mon pantalon noir, mon polo Bordeaux et mon sweat Gris. Ensuite j'enfilla mes chaussettes Bordeaux et Grise, ma casquette GPA et je me lava les dents, me coiffa puis je sortis de la salle de bains. Je descendis les escaliers, et tandis que j'enfillais mes bottes, ma mère me demanda :

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Comme elle le fit hier, je partis avant même qu'elle puisse répondre, claquant sauvagement la porte, réveillant mon frère xD Je monta dans ma voiture et démarra, m'arrêtant devant le portail. Je descendis l'ouvrir et je remonta dans ma voiture, démarra et je partis, sans refermer le portail. Je roulla rapidement sur la route de campagne qui menait au club, mais je m'arrêta sur le Parking de la Superette. J'acheta plein de pommes et de carrotes, je paya et je repartis vers le centre équestre. Je roulla tranquillement jusqu'au centre, puis je me garra dans le Parking, et je descendis de ma voiture, allant voir mon étalon d'or ...

. A U . B O X .

J'alla directement à la Grange chercher la ration de Peruzo, mais je ne pris pas d'avoine^^ Je retourna à son box et je rentra dedans, l'étalon m'observant de son regard malicieux et sombre. Je lui caressa longuement les naseaux puis je lui donna sa ration. Ensuite je sortis du box et je me dirigea vers le manège. Je mis deux chandeliers, une barre au sol. En face, sur l'autre grand côté, je mis aussi deux chandeliers et une barre au sol. Puis je retourna dans les allées, et j'alla à la sellerie. Je prenais ma boîte de pansage et je revins au box de Peruzo. Celui-ci passa la tête par la porte du box en me voyant, et hennissa doucement. Je souria et je lui embrassa les naseaux, puis je rentra dans son box et je lui passa mon licol.

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Je le sortis calmement du box, mais il tira quand même fortement sur la longe : je lui claqua sévèrement les naseaux, et il se remit en place, ronfflant bruyamment. Je ferma la porte du box et je l'attacha assez court, pour ne pas qu'il fourre le nez dans ma boîte. Je pris mon cure-pieds, et je commença à curer soigneusement les pieds de l'étalon : je ne voullais pas qu'il prenne froid ... Ensuite je lui ôta sa couverture et je lui passa un coup de brosse douce, puis je lui remis rapidement, le temps de le harnacher. Je lui mis des guêtres et des protèges-boullets, puis des cloches. Ensuite je lui détacha le licol, et je pris ma chambrière, menant l'étalon alezan au manège.

. D A N S . L E . M A N E G E .

Je ferma la porte derrière Peruzo et je le tins bien en main. Je lui ôta sa couverture et je lui détacha sa longe : directement, il partit au galop en ruant. Je le regarda se défouller quelques minutes : il galopa pendant quelques tours aux deux mains, puis il se roulla 2 fois et s'ébroua. Quand il revint vers moi, je le caressa et je m'avança vers les deux premières barres. Je mis une croix de 50 centimètres et je fis pareil avec les deux autres, en face, mais à 70 centimètres. Je me tourna vers Peruzo qui ne m'avait pas quitter des yeux, il suivait le moindre de mes mouvements.

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L'étalon secoua la tête fit un petit saut de mouton, se mettant au trot sur la piste. Il passa tranquillement la plus petite croix, et je fis claquer ma langue : le but était de sauter, pas de faire du tout mou ! À la réception de la deuxième croix, l'étalon prit le galop et je le força à rester à cette allure. Cette fois, il sauta vraiment les deux croix, sans trop se fatiguer non plus. A la réception de la deuxième, je le força à s'arrêter et à la place des croix, je mis des verticaux en mettant une barre d'appel.

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L'étalon démarra promptement au galop, mettant un léger coup de cul, et s'élançant avec souplesse vers le plus petit vertical. Il le passa avec souplesse et aisance, les oreilles pointées en avant et les antérieurs bien haut. Je le félicita de la voix, et je le regarda allez sur l'autre vertical : il décolla de loin, avec puissance, ses muscles saillants sous son poil roux. Il passa avec une grande marge au-dessus de l'obstacle, les antérieurs repliers bien haut et l'encolure tendu, le garrot bien remonter. Je le félicita de nouveau et je mis juste un vertical à 1 mètre : je ne voullais pas trop le forcer car je voullais le monter cet après-midi.

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L'étalon passait d'abord souplement le premier vertical, rester à cinquante centimètres. Il prenait une bonne foullée souple et vive, légèrement rassemblée, la tête haute ett les anseaux dilatés, les oreilles pointées vers l'obstacle. Il le passait avec souplesse, passant au moins 20 centimètres au-dessus, projectant bizzarement ses postérieurs. Je le fis revenir une fois, et cette fois, il passa très bien le deuxième vertical, avec classe et style, remontant ses antérieurs pratiquement au-dessus de son poitrail, l'encolure ena vant et le garrot bien remonter, projectant très souplement ses postérieurs.

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Je sortais de ma poche une carrote que je lui donna. Puis je démonta soigneusement tous les obstacles, et je mis sa longe à Peruzo sans problème. Je lui posa sa couverture Bordeaux et Grise sur le dos, et je le mena tranquillement à son box, tout en continuant de le féliciter et je le caresser.

. A U . B O X . P U I S . A . L A . P Â T U R E .

Je ramena donc Peruzo dans son box. Je l'attacha dehors et je lui ôta sa couverture, commençant à lui passer l'étrille soigneusement. Faut dire qu'en même temps, il était plein de sable ... Une fois que j'en eus finit avec l'étrille, je lui passa un bon coup de bouchon, le faisant déjà moins sabloneux. Pour finir je lui passa un coup de brosse douce, je lui retira ses protections pour lui nettoyer les membres et je le recouvra. Ensuite je lui cura et lui graissa soigneusement les pieds, puis je lui mis des cloches propres et je le détacha.

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Je le caressa et je le mena tranquillement à la Pâture. Il sembla un peu déranger dans le cerveau : il trottait à côté de moi, ruait vivement et tirait sauvagement sur la longe. Je lui mis un coup de longe entre les naseaux, et il sembla se calmer. J'ouvris ensuite la porte du pré, et je le fis rentrer derrière moi. Puis je le caressa et je ferma la porte, sans qu'il m'arrache les mains, pour une fois. Je lui donna donc une pomme et 3 carrotes, puis je lui ôta son licol. Je le regarda manger paisiblement, et il redressa sa tête, m'observant d'un regard doux.

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Je lui souria : il démarra promptement partant au galop dans le fond de la pâture. Je descendis de la barrière et je partis au box, rangeant mes affaires. Puis je partis cherher Pop's : on devait manger au Snack toute les deux ...

Messages : 616 Date d'inscription : 14/11/2007

C'était très bon au snack, merci de m'avoir inviter xDD
Parfaiit, je dois dire qu'ils me plaisent beaucoup tes sorties ^^

+6 de moral [avec la mise au pré]
+4 de confiance
+6 d'obstacle
+4 d'endurance

Messages : 103 Date d'inscription : 29/12/2007

. C O U R S . D ' . O B S T A C L E .

. A U . B O X .

Je me dirigea souplement vers le box de mon étalon avec mon matériel. Je pris ensuite mon licol et je partis en courrant au pré : je ne devais pas être en retard ... Je l'attrapa avec assez de facilitée, mais je dus quand même lui courrir après ... Ensuite je le ramena à son box et je l'attacha devant. Je commença tout d'abord par lui curer les pieds très soigneusement, puis je lui brossa les membres avec ma brosse douce. Je lui mis alors mes guêtres, cloches et protèges-boullets, puis je lui ôta sa couverture et je le brossa soigneusement avec la brosse douce : je ne voullais pas lui faire mal car il avait le poil court. Ensuite je lui posa mon tapis, mon amortisseur et ma selle, je lui mis ma sangel bavette et je le sangla. Puis je lui mis le couvre-reins polaire pour ne pas qu'il attrape froid et je lui mis le filet et le collier de chasse martinguale. Ensuite je lui démella soigneusement la queue et la crinière puis je mis ma bombe, mes gants et je pris ma cravache, et je dirigea Peruzo vers la carrière.

. D A N S . L A . C A R R I E R E . V U . D ' . E L A N .

! A FAIRE !

. R E T O U R . D E . L ' . E N T R A I N E M E N T .

Je revins de la carrière avec Peruzo en main. J'étais satisfaite de ma séance : j'étais sûre d'être prête pour la compétition, mais il me restait seulement un jour pour m'entraîner avant la compétition ... J'attacha Peruzo devant son box et je le désharnacha rapidement. Puis je lui passa un bon coup de brosse, le faisant tout miroitant. Pour finir je lui cura et lui graissa les pieds. Je lui mis sa couverture juste avant, et je lui démélla sa queue et sa crinière. Ensuite je le mis au box et je lui donna son mash, tout en souriant et en le regardant avec amour.

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Après quelques bisoux et câlin, je le caressa et je partis. Je ferma la vollet, rangea mon matériel et je pris ma voiture, rentrant chez moi.

. A . L A . M A I S O N .

Je pressa directement dans la salle de bains, ignorant mes parents et autre. Je me doucha le plus vite possible, puis je me coiffa soigneusement, me maquilla et enfin m'habilla. En effet, j'avais un rendez-vous avec ... Quelqu'un n_n Je me dépêcha ensuite de descendre au moment ou `Il` sonna. Toute souriante je lui fis la bise et je sortis de la maison avec lui, montant dans sa voiture et allant au restaurant

Messages : 103 Date d'inscription : 29/12/2007

. S E A N C E . D ' . O B S T A C L E . 1 .

. A . L A . M A I S O N .

Le bruit acerbe de mon réveil me réveilla : je m'extirpa de mon sommeil avec beaucoup de diffuculté, un doux sourire cloué sur mon visage ... Je m'étira de toute ma longueur, puis je baîlla et je me leva enfin. Je me dirigea en bas en trainant des pieds, la tête dans le brouillard. Je me contenta d'un bol de café bouillant, et pas du Grand-Mère comme dans la pub : c'est ignoble. Je mangea ensuite un toast avec de la confiture de cerise et je monta m'habiller. Je me lava puis je me mis en tenue d'équitation. J'enfila pour finir ma casquette GPA et je descendis après m'être laver les dents. J'embrassa gaiement mon frère qui me fixa avec des yeux bizarres et tourna son regard vers ma mère.

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Je sortis en souriant de la maison après avoir enfiller mes bottes. Je monta dans ma voiture et je sortis de la maison tranquillement, et je roulla vers le centre-équestre. Je croisa une cavalière à cheval et je la salua puis j'alla me garer. En me voyant arriver, Pop's m'assaillit de question sur mon rendez-vous.

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Je m'éloigna en courrant, m'enfermant dans la sellerie. Je pris les affaires de Peruzo et j'entre-ouvris la porte, regardant soigneusement autour de moi. Puis je sortis le plus vite possible, courrant jusqu'au box de Peruzo ...

. A U . B O X .

Je déposa tout devant le box de mon étalon, et je rentra dans le box de celui-ci, le caressant longuement. Il posa sur moi son regard malicieux et fier, soufflant avec douceur dans mes cheveux. Tout en souriant, je lui passa son licol et je lui embrassa les naseaux, le sortant du box. Je l'attacha soigneusement et je ferma la porte du box. Je regarda ma montre : il était 10 heures du matin, c'est pour ça que mon cheval avait été nourrit ... Je lui cura soigneusement les peids tout en lui parlant, l'étalon attentif à tout ce que je lui disais ... Puis je lui ôta sa couverture et je le brossa longuement. Je le sella puis je lui mis le couvre-reins, le filet et je lui fis un noeu à la queue.

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Je le caressa brèvement mais avec amour, et je mis mes gants, ma bombe et pris ma cravache. Je détacha l'étalon et je le mena à la carrière tranquillement.

. A . L A . C A R R I E R E .

Je marcha un peu l'étalon tout autour des obstacles, puis je l'arrêta au milieu et je descendis mes étriers, resangla et je me mis en selle. L'étalon resta en place, ne cherchant pas à m'embarquer. Je le caressa et je le mis au pas tranquillement sur la piste. Je le marcha pendant au moins 5 minutes, histoire de le réchauffer puis je raccourcissa mes rênes et je lui pressa doucement les flancs le mettant au pas actif. Je le fis marcher tranquillement mais gardant des jambes et le travaillant d'abord sur des voltes. Je lui demanda de s'incurver sur le cercle et je lui demanda par la même occasion de se mettre en place. L'étalon mit une ruade désaprobatrice, et je lui mis un coup de cravache derrière ma jambe. Il ronffla fortement des naseaux et daigna s'incurver et se mettre légèrement en place. Je le rappella de nouveau à l'ordre et cette fois, il s'incurva franchement et se mit bien en place, tout rond. Je changea de main et je repèta le même exercice, gardant un cheval rond et qui avance, incurver et sûr de lui. Alors je le caressa tout en souriant et je le remis sur la piste.

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Je le caressa longuement puis je le mis au petit trot. Je le trotta plusieurs tours de carrières, alternant trot moyen et trot de travail. Je pris enfin une diagonal, changeant tranquillement de main. Je repris l'étalon en arrivant à la piste et je trotta comme à l'autre main, travaillant le trot de travail et le trot moyen. QUand il fût complètement réchauffer, je me mis au trot moyen et je le travailla sur des barres au sol. Je le garda bien dans mes jambes et dans mes mains, gardant de l'impulsion pour ne pas que l'étalon féblisse dans son trot sur les barres, mais pas trop rapide non plus, le but n'étant pas de les sauters. Peruzo se mit en monde :`Faire Chier le Monde`>< Dès qu'on arrivait devant les barres, il pillait ou s'éclatait à faire un énorme bond au-dessus ... Je lui mis un coup de cravache sévère sur la croupe, et il s'élança avec violence au galop, ruant sauvagement. Je tira sèchement sur les rênes, l'étalon alezan pillant net et secouant vigoureusement la tête. Je lui mis un coup de talons et il s'élança au grand trot, ruant légèrement dans les virages. Je lui mis de nouveau un coup de cravache et je le remis en place, le forçant à se placer. Je revins sur les barres au sol, mettant beaucoup de jambes et de mains, l'étalon les passants avec beaucoup de classe, levant haut les antérieurs et les postérieurs.Alors je le flatta longuement et je revins encore deux trois fois, toujours avec un très bon résultat. Le félicitant, je repassa au pas et je ressangla, souriante.

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Souriante, je le caressa longuement puis je repris mes rênes. Je lui demanda posément le galop, sans avoir de ruade ni rien. Je me mis en équilibre, accompagnant souplement le galop de l'étalon. Après quelques tours tranquille, je le repassa au trot et je changea de main. Puis je galopa tout aussi tranquillement à l'autre main, sans chercher à le forcer mais seulement à le galoper tout doucement. Après trois, quatre tours, je le repassa au trot et au pas, et je le laissa souffler. Après quelques minutes ua pas, je lui ôta son couvre-reins sans que monsiuer pète un cable. Puis je repris mes rênes et je ressangla. Enfin je le mis au trot sur la piste et je pris une diagonale, dirigeant l'étalon avec impulsion sur une croix. Il la franchit avec souplesse, et j'accompagna bien son saut puissant et articuler. Je me redressa à la réception et je caressa. Je revins à la même main au petit galop, accompagnant bien l'allure avec mon bassin et regardant loin. L'étalon leva ses antérieurs et j'accomapagna bien le saut, mes mains suivant l'allongement de l'encolure, et mon haut du corps aussi. Je me redressa aussi à la réception et je caressa de nouveau l'étalon. Je le garda au galop, celui-ci ayant changer tout seul de pied. Je le dirigea ensuite sur une ligne vertical - oxer de cinquante centimètres. Je me redressa dans la descente et je garda mes jambes, l'étalon redressant légèrement son encolure. J'accompagna avec souplesse le premier saut, l'étalon faisant deux foullées souples et amples, pour sauter l'oxer avec puissance, remontant haut ses antérieurs et dressant les oreilles. Je le caressa après l'avoir repasser au trot et au pas et je le laissa souffler deux minutes avant de commencer à enchainer.

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Je caressa longuement l'étalon et je repris mes rênes, refaisant le parcours dans ma tête avant de le mettre au petit galop autour de l'obstacle numéro trois. Je m'imagina la cloche sonner et je quitta mon cercle, prenant la piste ...

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Je lança l'étalon sur le premier, un vertical. Il le franchit avec souplesse, réceptionant gentilment et galopant souplement vers le deux. Je le fis légèrement tourner à gauche, longeant le mur et le mettant droit sur l'oxer polonais. L'étalon doré le franchissait avec souplesse et élégance, mais un peu trop mollement ... Le `boum`de la barre retentit à la réception, mais je restais concentrée. Je tourna sérré à gauche, passant derrière le mur et dirigeant avec souplesse l'étalon vers le 3. Je le garda en vitesse, ne le laissant pas s'affoler. Il franchit l'obstacle avec souplesse, et je l'accompagna très bien. Tout de suite après la réception, je tourna à droite, dirigeant l'étalon droit sur le quatre, gardant bien des jambes. L'étlaon le sautait avec souplesse, se mettant dans l'allure de concours, bien concentré et sur de lui. Je tournais légèrement à droite, dirigeant avec adresse l'étalon vers le numéro cinq, un oxer. Peruzo prenait un appel assez loin mais sautait bien haut, passant souplement l'oxer et avec classe. Je le faisait tourner à gauche après la réception, mettant mes jambes et me redressant. Gardant mes rênes tendues, je mettais l'étalon bien droit devant l'obstacle, pour l'obliger à sauter. Sans se fouller, il le sautait avec légèretée, semblant voler au-dessus de l'obstacle fixe. Je traversa la moitier de la carrière pour faire une boucle légère et diriger l'étalon vers le numéro sept, qu'i franchit avec facilitée. Je le félicita de la voix et je le fis galoper vers le numéro huit. Je fis une jolie courbe à droite, le mettant face à l'obstacle. L'étalon bondit souplement et gracieusement, passant l'obstacle avec souplesse. Je le dirigea en gardant une allure souple mais rapide vers le dernier, l'étalon le passant souplement et de biais, sans chercher à refuser. Je me pencha sur l'encolure et je le caressa, l'étalon ruant vivement de joie. Je me redressa et je le repassa au trot et au pas, le laissant souffler rênes longues.

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Tout en souraint, je lui remis son couvre-reins et je le marcha tranquillement pendant au moins dix minutes. Puis je l'arrêta au milieu et je mis pied à terre, remonta mes étriers et je dirigea tranquillement l'étalon vers son box, tout en le félicitant longuement.

. A U . B O X .

Je desella rapidement l'étalon et je lui passa un rapide coup de brosse, avant de le recouvrir, de peur qu'il prenne froid. Par contre, je lui cura et lui brossa très soigneusement les pieds, avant de les graisser. Puis je lui démélla soigneusement la crinière et la queue et je le dirigea vers le pré. Je le lâcha dedans et je le regarda trotter jusqu'au fond de la pâture, hennissant doucement et m'observant d'un oeil. Puis il se roulla souplement et avec ardeur, se releva et galopa comme un fou, avant de repasser au pas et de brouter l'herbe verte et grasse. Satisfaite, je retourna en souriant au club-house, allant discuter avec les filles du club ...

Messages : 616 Date d'inscription : 14/11/2007

Wah, j'aime toujours autant ^^

1er résumé
+4 de confiance
+4 de moral

2eme résumé
+4 de moral
+4 de confiance
+7 d'obstacle
+5 d'endurance